L’Université de Thiès a un nouveau recteur

mardi 03

octobre

2023

Abonnez-vous
à

SENEMEDIA

Breaking news

Nigeria: au moins 40 disparus dans le naufrage d'un bateau
Alpha Condé conteste le pouvoir de Doumbouya : Je reste le « président »
Le prix Nobel de médecine attribué à Katalin Kariko et Drew Weissman pour le vaccin à ARN messager
Mali: l'armée fait mouvement en direction de la région stratégique de Kidal
Mali: l'Imam Dicko proteste contre le report de la présidentielle

L’Université de Thiès a un nouveau recteur

L’Université Iba Der Thiam de Thiès a un nouveau Recteur. Il s’agit de Mamadou Babacar Ndiaye, Professeur titulaire des Universités. Il remplace à ce poste Ramatoulaye Diagne Mbengue qui a terminé son mandat depuis plus d’un an. Cette nomination fait suite à l’appel à candidatures lancé par le ministère de l’Enseignement supérieur en mars dernier.

Selon les nouveaux textes, rappelle le Saes, «le Recteur est nommé pour un mandat de quatre (4) ans, renouvelable une fois».

Ramatoulaye Diagne Mbengue a choisi de ne pas se présenter pour un nouveau bail. Une décision qui peut s’expliquer par les relations parfois heurtées avec la coordination Saes de l’UIDT. « Nous avons appris à travers un courrier de remerciements adressé à toute la communauté universitaire de l’UIDT que vous n’êtes pas candidate à un nouveau mandat à la tête de cette institution (…). Un choix que vous avez fait et que nous respectons », souligne le Saes dans une note destinée à Ramatoulaye Diagne Mbengue.

Le Saes qui a listé les acquis (sans être exhaustif) dresse un bilan plutôt positif du recteur. La coordination estime même qu’elle peut être fière de son travail. Pour le reste, ça relève de la marche des choses. « Vous avez été une camarade du SAES et vous la resterez. Notre mission de veille sur le bon fonctionnement de l’UIDT nous a amené à des confrontations NORMALES (sic) où chacun cherche à défendre sa position pour le bien de l’Université ».

Si l’on en croit la coordination du campus de Thiès, il n’y a jamais eu d’animosité, mais plutôt ‘’d’incompréhensions’’ que le Saes impute à tous, en particulier aux services du Recteur qui n’ont « pas beaucoup aidé à dépasser certaines questions ».